La
troisième étape consiste à contrôler
la nature du vendeur.
Une fois ces étapes réalisés et que l'avocat estime que
les droits du vendeur sont cessibles, l'acte peut être
signé.
Dès lors, il est préférable d'obtenir
de votre banque un accord de principe écrit au financement
de votre projet d'acquisition.
Un fois l'acte signé, l'acheteur devra faire un déclaration
aux impôts de son achat afin de régler la taxe
d'achat sur l'immobilier (Mas Réhicha) échelonné de
0.5% à 5% pour les appartements, avec pourtant un abattement
de 0.5% pour les nouveaux immigrants notamment
et de 5 % pour les autres biens immobiliers.
L'acheteur le cas échéant devra régler
les frais de l'agent immobilier (2% du prix de vente) ainsi
que les honoraires de son avocat ( 0.5 à 2% + TVA).
Si
l'appartement est vendu en première main par une
entreprise de construction, il faudra ajouter la TVA (17%),
et souvent, une participation aux frais légaux d'enregistrement,
payables au constructeur et variant de centaines de sh. à 2%
+ T.V.A. du prix du bien.
Il est précisé que ces conseils ne sont pas exhaustifs
et l'assistance d'un avocat est indispensable pour la sécurité de
votre acquisition, en vous rappelant qu'à la différence
de la France ce ne sont pas les notaires qui traitent exclusivement
les transactions immobilières. |
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